mardi 30 décembre 2008

Remember me.



Souviens toi de moi.
Quand nous n'étions que des enfants et que nous ne faisions des promesse d'un avenir lointain. Quand nous parlions de nos futurs enfants, de notre future maison, et de notre amour impérissable. Tout était en trin de se faire, la vie était à portée de main, rien ne nous arrêtera, rien n'arrêtera notre amour, tout et moi, réuni pour la vie, nous sommes invincible, indivisible.
Souviens toi de moi.
Comme je me souviens de toi, de ton odeurs, ton rire et ton sourire. Tes cheveux qui caressaient mon visage. Tes douces mains dans les miennes, ton souffle dans mou cou. Ta voix angélique me demandant si je t'aimais pour la vie. Ces moments passés à tes côtés dans l' insouciance du monde cruel qui nous attendra.

dimanche 28 décembre 2008

La fin d'un monde...




Je n'ai jamais dit que j'allais rester là à l'attendre et mourir pour elle. Elle est mieux sans moi c'est tout. Pourtant la mort s'empare d'elle, dans mes bras elle s'apprête pour son dernier souffle.
Déjà le soleil pleure, le ciel est en deuil, et le vent souffle ses plus belles sérénades pour ses yeux.
Déjà mon coeur s'emballe d'incompréhension. Je n'ai jamais servit à quoique ce soit dans sa vie, et elle n'a jamais rien été pour moi.
Pourtant ces dans mes bras qu'elle passe les dernières minutes de sa vie. Je ne sais pourquoi. Le ciel saigne, la terre tremble, mon coeur reste de pierre devant se corps inerte si beau même si la vie l'a abandonné.
Tout ira mal maintenant, le soleil s'est éteint, le vent ne souffle plus, il fait un froid insupportable, comme si Dieu voulait que nous ayons tous aussi froid qu'elle.
Elle m'a soufflé un mot à l'oreille. Un mot incompréhensible, accentué par la douleur, la tristesse. Quel était ce mot ? Aucune importance. Je ne pleure pas, je reste à genoux avec son corps inerte dans mes bras. Que vais-je en faire ?
Je suis indifférent, car je suis déjà mort à l'intérieur, les plaisirs de la vie comme les meilleurs vin m'ont dégoutés à présent j'attends aussi que la mort s'empare de moi, le moment venue. Pourquoi est-elle morte dans mes bras ?
Le ciel s'éclaircit, une lumière s'approche à tout vitesse un ange venu prendre son âme m'entraine dans sa course. Et j'arrive dans un endroit d'un blanc sacré, ou l'air est pur et la température est la meilleure des mondes. Je regarde en bas, je vois notre monde, et son corps par terre, mais moi je n'y suis pas. Et je n'ai pas l'impression d'être mort, rien n'a changé, mais mon corps a disparu.
Depuis des années je suis déjà mort sans même m'en être rendu compte, jusqu'à ce jour ou j'ai touché la mort pour savoir qui elle était.

jeudi 18 décembre 2008

Raphaël



Quelqu'un m'a appelé Raphaël. Je ne sais pas qui c'était. Mais il me connaissait. Il savait tout de moi. Y compris que je m'appelais David.
Ses yeux couleurs rubis me dévisageaient, mais je ne perdais pas mes moyens, j'aimais cette sensations de le voir regarder à travers mes vêtements. Il m'a appelé Raphaël, l'amour s'est montré à moi comme par magie, entre ses doigts, à travers lui.
Le nom d'un ange pourtant différent de moi. Le nom d'un peintre maître d'un art que ne maîtrise pas. Le nom d'un homme que je ne suis pas*. Il m'a montré à quel point l'Homme change, pour diverse raisons, mystérieuse, mais l'Homme ne reste jamais le même durant sa vie, c'est ainsi.
Mon existence auprès de la Planète Mère n'étais jusqu'à ce jour qu'une tâche salissant les quelques beautés qui ornent parfois la vie d'un Homme. Ce Raphaël qu'il veut que je sois s'empare petit à petit de moi, malgré ma volonté, malgré mes craintes. Je ne me contrôle plus et ma vie s'embellit.
Quelqu'un ma appelé Raphaël, quelqu'un que je ne connais pas, mais qui connaissait tout de moi. Où est-il maintenant ce majestueux papillon souriant aux charmes d'un lys ? Je l'ai perdu, en ayant perdu ce que j'étais avant qu'il ne s'infiltre dans ma peau, à travers mes pores, au plus profond de mon âme. L'influence de cet homme, pourtant si beau, me paraît presque maléfique, mais elle est tant bénéfique pour ce moi que je ne connais pas.
Le Dragon et moi ne chevauchons plus la même monture. Suivant le même chemin, l'intersection divine nous sépara.
Je l'ai vu, j'ai aimé, j'ai vécu.
Je suis déjà mort.

*Le premier qui me parle de Lara Fabian je le lobotomise.

Just give me a kiss (glam inspiration)



Hé bébé, t'aurais pas une cigarette ?
Regarde la fumée, regarde le chemin qu'elle trace vers les étoiles,
Et si on suivait ce chemin ?
Personne ne peut nous empêcher de partir,
Personne ne nous empêchera de faire l'amour dans les nuages.

Les courbes de tes lèvres réécrivent l'histoire et
Les courbes de tes hanches recréent mes fantasmes les plus fous
Faire l'amour dans les nuages, le monde entier serait jaloux,
Et pourquoi pas, en jouir jusqu'à ce qu'on en monte vers les étoiles ?

Les étoiles, qui se reflètent dans tes yeux
Au moment ou je me fais des fantasmes fous
Embrassons nous et laissons nous porter
Par ce doux vent d'été.

Après l'inspiration morbide, l'inspiration érotique... ça craint.

mardi 16 décembre 2008

Inspiration matinale.



Plus rien à perdre, enterre moi, laisse moi s'il te plaît, laisse moi, ne me laisse pas, laisse moi tomber, je te tuerais s'il le faut.
Contradiction dans notre esprit. Certains veulent la mort. Ils la veulent, s'en approchent, se jette sous un bus, sont dans un monde parallèle. Au début il fait tout noir. Ensuite, des scènes de ta vie te revienne. Des scènes ratées de ta vie, qui sont embellit dans cette sorte de rêve. Et tu repense à tout ces bons moments passés sur Terre. Au final, c'était pas mal la vie, mais t'as fait plus de mal que de bien.
Puis tu pense que ça y est, tu vois une lumière, tu aime cette lumière, elle clignote comme pour te dire de venir mais tu ne peux plus bouger ! Alors tu attend peut être viendra-t-elle... Mais ... Tu bouge ! C'est juste la putain d'ambulance venue te "sauver la vie" ! Ouais, te sauver la vie on appelle ça, 6 mois dans l'coma, 9 mois de réanimation pour finalement passer les 6 prochaines années de ta vie dans un fauteuil roulant, rhumatisme sur tout le corps.
Finalement un jour, tu voudra prendre l'air sur le toit de l'hôpital, et tu te jetteras du toit. Et là; personne ne sait la suite, à part que tu es mort, le sourire sur les lèvres....




J'avoue, certains matins j'suis assez morbide...

lundi 15 décembre 2008

The Picture Of Dorian Gray



C'est dingue comme un simple bouquin peut vous bouleverser.
Et oui. Il me hante. Dorian, le plus beau, l'Idéal, la représentation même de la beauté juvénile. La décadence d'un homme à travers un souhait totalement irréfléchie. Et il revient, ne me quitte jamais, si bien que c'est déjà la quatrième quoi que je le lit en environ un mois.
Il voulait que le portrait vieillisse à sa portée. Des paroles en l'air, car irréalisable pour nous. Mais pas chez Wilde. Et voilà la conséquence d'un acte irréfléchie. Un coeur brisé d'avoir détruit la vie d'une femme unique et tant aimé de Dorian. Quand on dit que Wilde est la première pop-rock star, on est pas loin de la vérité. Dorian vit un peu une vie à la sex, drugs, alcohol. Et ça le détruit, le portrait s'enlaidit et les gens ont peur de lui, Dorian perd petit à petit ses amis. Et finit par se détruire lui même.

Acte irréfléchis, conséquence catastrophique, regret inoubliables. Voilà sur quoi se fonde notre vie. Voilà comment le monde d'aujourd'hui nous apprend à vivre. Tu souffre, mais tu dois réussir à l'école. T'as pas le droit de déprimer tant que t'es pas majeur, sinon c'est l'adolescence. Après tes 18 ans, c'est sur le dos de la rudesse de la vie.
La tendre enfance, nos parents font déjà de nous des graines d'adultes. Enfance, on se forge déjà une réputation, une personnalité. Adolescence, tout se joue, on suit le chemin déjà tracé ou on s'en éloigne totalement. On zig, on zag, on tombe, on se relève, à peine debout, on retombe encore plus bas. Tous ça pour nous préparer à l'âge adulte. L'âge ou les chutes sont les plus lourdes, l'âge ou les conséquences de nos actes sont les plus importantes.
Réfléchir, toujours réfléchir, sans arrêt réfléchir, on nous explique que notre cerveau est fait pour ça de toute manière.

samedi 6 décembre 2008

The Awakening.



Un souffle, une lumière, un son, une sensation.
J'ai enterré mes rêves, loin de ma peur d'échouer. Mais cette crainte a créé un espoir qui m'a réveillé.
L'éveil à une vie nouvelle, sans artifice, un monde nouveau, vu différemment. Un délire des sens et de l'esprit déclenché sans artifice, sans même le contrôle de soit-même. Avancer sans savoir ou l'on va mais en ayant tout de même confiance en ce chemin difficile et inquiétant devant nous. Une lumière étrange au bout de celui-ci nous fait revoir ces paysages fantastiques qui berçaient nos rêves puérils et que l'âge nous a déjà fait oublier.

Un souffle, une lumière, un son, une sensation.
Sommes-nous restés mort durant toutes ces années à errer sans goût et sans but ? L'éveil à une vie nouvelle, déclenché par une simple sensation. Ici, le psychédélisme n'est rien, les sensations les plus primitives prennent places et nous emmènent au bout du chemin, vers de bleus lagons étoilés, caressé par la brise légère qui éveil notre gaieté.
Ici, tout est beau, tout est propre, tout est joie.
Les fleurs dégagent des parfums encore inconnus, le plus beau de tout les parfums du monde.
Son parfum.
Les oiseaux inconnus chantent des chants semblable aux plus belles chorales de l'Ange Satan.
Son chant.
L'atmosphère nous caresse la peau et on se laisse envahir par ce bien-être envoutant.

Un souffle, une lumière, un son, une sensation, un ange.
Egoïstement, on pense qu'Elle a été envoyé juste pour nous. Elle ne sait reconnaitre sa pureté et le bien qu'elle dégage. Mais elle devient le souffle, la lumière, le son, la sensation du réveil. Sa beauté incomparable nous hante dans nos plus profondes pensée. Tout ce qui est beau se rapproche d'elle, joie et tristesse ne tiennent qu'à elle. Tout repose sur elle, sans même qu'elle le veuille, sans même qu'elle le sache. Elle n'y peut rien, et nous n'y pouvons rien non plus. Le sens même de la vie repose sur elle.

Un étouffement, l'obscurité, le silence, la paralysie, un ange.
Je me suis peut-être déjà rendormi, trop tôt...

"Le monde est changé parce que vous êtes fait d'ivoire et d'or. Les courbes de vos lèvres réécrivent l'histoire" - Oscar Wilde

dimanche 23 novembre 2008

À la recherche de soit-même.



On cherche tous la lumière, celle qui nous guide et nous donne ce qu'on appelle une raison de vivre. Un monde en perdition totale, tout les moutons suivent le berger, lui-même perdu dans les montagnes arides de la face cachée de l'Eden, là ou tous auront le savoir, tous auront la désillusion du plan et de l'entreprise qu'est la création du monde. On se pause des questions, savoir d'où nous venons, savoir où nous allons, ayant tellement soif de savoir qu'on en oubli le présent et qu'on passe notre vie à regretter.
"L'instant est béni. Tout le reste est souvenir" - Jim Morrison

Alors on laisse les torrents du temps couler, on se drogue légalement, de télé, d'internet, d'antidépresseurs, de cigarettes, d'alcool. Certains ose atteindre les paradis artificiels en prenant de l'illicite. Ainsi certains pensent, rient, voient la vie d'un oeil différent. Tombe amoureux d'un arbre, d'une fleur, d'un chat, de ce que le bonheur nous offre.
Parfois, l'esprit du mal, plus communément appelé "amour" s'abat sur vous, et là, plus rien ne tourne. La Terre tourne dans un autre sens, elle est le centre de l'univers, le temps s'est arrêté, les coeurs n'apportent qu'un fond sonore, les plus belles fleurs d'Asie n'ont plus d'odeur, les charmes Africains perdent leurs beauté; c'est la mort ou l'amour. Mais souvent, tout n'est qu'illusions, artifice, il faut "aimer" pour s'aimer, et être aimer du monde, l'amour perd son sens, et on se retrouve amoureux de 15 personnes en 3 ans.
Et il y a le doute. Le doute du mal-être de l'adolescent. Certains se sentent plus mal que d'autres, d'autres sont mal, mais ne le voient pas, la chute sera terrible. L'adolescence, âge sans limite, on devient adulte, ou on ne le devient jamais. Premières cuites, premières grosses disputes avec papa-maman, découverte du corps, premiers émois sexuels. Certains vivront ces évènements bien tardivement, certains les ont vécus trop tôt, d'autres ne les vivront pas. Là encore, on se dit amoureux, mais personne ne sait réellement si oui, il l'est. Alors on tente, d'aventures en aventures, et on la trouvera sûrement cette personne qui réécrit l'histoire par la courbe de ses lèvres et par l'air de sa voix. Et qui sait, la connerie adolescente fera peut être que malgré cet amour naissant, le doute, la peur, l'inconscience fasse tourner les Alizés et nous fasse perdre cet amour. Nous fasse perdre le bonheur que l'on cherchera toute notre vie.
Et il y a l'insecte, le minuscule microbe, qui critique certaines choses sans connaître, d'autres qu'il pense connaître. Certaines qu'il ne connaît que trop. Certaines qu'il n'espère jamais connaitre. Dans le brouillard de l'humanité, il se sent lucide, tellement sûr de lui, qu'il a perdu toute confiance en lui-même. Son esprit n'est pas contradictoire, il est contradiction. La contradiction du bonheur et de la tristesse. La contradiction de la beauté et du laid. La contradiction de l'enfant et du jeune homme en devenir. Je suis comme tous à la recherche de cette lumière, étant déjà éclairé par les lumières de la vie, attendant l'heure de la mort, l'heure des révélations, l'heure de la désillusion. L'heure peut être où toutes souffrances cessera, ou au contraire, se décuplera en multiples sabres coupant mon âme jusqu'aux fins des univers.

dimanche 2 novembre 2008

The Unforgiven

Ils sont arrivés, encore jeune, je me suis soumis, à leur loi.
Ils ont tout changé, c'était perturbant, mais je suis rentré dans le "moule" j'étais ce qu'il voulait que je sois.
J'étais leur souffre douleur, ils me haïssaient, j'étais trop différent, mais je ne comprenais pas, pourquoi ils étaient venus à moi...
À moins que ça soit moi qui soit venu à eux ?
Je me combattais pour survivre.
Et j'ai compris, j'étais seul, ils étaient différents, mais tout le monde est différent.
Depuis ce jour là, je me suis promis que jamais, ils ne prendront ma volonté de vivre et d'être celui que je suis.

Je n'ai jamais montré ce que je ressentais, ce que j'ai appris. Mon futur n'a jamais été, ne sera jamais, je ne verrais pas ce qui aurait pu se passer.

Jamais libre, jamais moi même, je suis l'Impardonné

Leur vie était pour gouverner la mienne, j'essayais de leur plaire, néanmoins, je devenait un homme amer.
Incessamment, je me battais, pour une bataille déjà perdue.

Je suis fatigué, je n'en ai plus rien à faire...
Je me sens mourir, je m'y prépare à contrecoeur.
Je suis l'Impardonné





Couche toi près de moi, et dit moi ce qu'ils t'ont fait. Dis moi ce que je voudrais entendre, chasse mes Démons, car cette porte verrouillé que tu vois s'ouvrira si tu es sincère. Si tu me comprend, alors je te comprendrais. Le noir du Jour, l'obscurité de la Nuit, nous partageons cette paralysie. La porte s'ouvre, mais le soleil ne l'éclaire pas. Ce coeur assombrit par la tristesse, mais le soleil ne l'éclair pas, je ne vois pas le soleil.
Couche toi près de moi, et dis moi ce que j'ai fait. La porte, maintenant fermée, comme tes yeux, je vois le soleil à présent.

Ce que j'ai ressenti, ce que j'ai su, j'ai tourné la page, retourné les pierres, cette porte, devrais-je l'ouvrir pour toi ?

Malade et fatigué, seras-tu là, car ils m'ont laissé seul, seras tu là ?

Ou es-tu aussi un Impardonné ?

Tu es le seul qui m'attend ...

Ce que j'ai ressenti, ce que j'ai su, j'ai tourné la page, retourné les pierres, cette porte, devrais-je l'ouvrir pour toi ?
Ou es-tu aussi un Impardonné ?

Je prend cette clef - Jamais libre - et je l'enterre - jamais moi même - en toi, car tu es l'Impardonné aussi.

Comment pouvais-je savoir que ce soleil changerais sa vie pour toujours ? Il me quitta, prit la mer pour toujours. Lui avais-je fais du mal, ou c'était il fait du mal lui même ? Toujours apeuré des choses qu'il ressentait, il est peut être simplement partie. Il a prit la mer pour toujours ...

Comment puis-je être perdu, alors que je n'ai nulle part ou aller ?

À la recherche de mers d'ors, qu'il aurait pu trouver. Comment puis-je lui en vouloir, alors que c'est à moi que j'en veux ?
Je dérive, en plein brouillard, une vie à chercher la sortie de mon enfer intérieur, totalement enivré par ma soif de liberté. Mais je me suis échoué, comme ma vie, l'eau n'est plus assez profonde, je décline dans les ténèbres, je suis un naufragé.

Ils sont...
Ils sont tous partis ...
Ils sont tous partis au loin...

Pardonne moi ...
Ne me pardonne pas ...
Pardonne moi...
Ne me pardonne pas...
Pourquoi ne puis-je même pas me pardonner ?

Nous sommes maintenant tous échoués, nous ne sommes pas perdus ; nous ne savons pas ou aller. Je ne lui en veux pas, car c'est moi que je ne puis pardonner.

Nous sommes l'Impardonné.

samedi 1 novembre 2008

Présentation ?

Moi c'est David, mais appelez moi Dave, même si vous n'êtes pas intimes.
Je vais écrire sur ce blog. Écrire quoi ? Aucune idée, de la merde sûrement.
Une présentation ? Ma vie ? Aucune importance.
Je fumais ma clup sur la terrasse, devant chez ma marraine, à Loffre, la belle bourgade de Loffre, dans le Nord, et je regardais les vaches brouter. Il faisait noir, il était environ 20h, et j'ai eu l'idée de faire ce blog. J'ai entendu un bruit étrange, comme un corbeau étripé, ou une grenouille qui venait d'avoir son premier orgasme, la chanceuse.
Je suis devant mon ordi, j'ai 16 ans dans 22 jours, je fais une crise d'asthme, parce que j'ai trop fumé.
J'ai des pensée psychédélique parfois, totalement débile, et d'autres adjectifs pour dire que mes textes seront un peu "décalé" (seulement si on se base sur les pensées majoritaires de la population mondiale), mais je n'ai consommé aucunes drogues en écrivant les textes qui vont suivre. J'ai peut être été inspiré dans un état second, mais la rédaction se fait dans un état de sobriété.
J'écris juste ce qui me passe par la tête, sans vraiment me relire, sans rien changer, j'écris, un peu comme un fou, j'écris.
Merci, aurevoir.


Voyez ma bêtise, vitale.

D'accord je fais une sale gueule.