dimanche 26 avril 2009

New life.



Placebo, une voix, des textes, de la musique, un bonheur incomparable.
6 ans que Placebo berce mes journées, que Placebo m'aide à vivre.
And I will battle for the sun ...

jeudi 19 mars 2009

Tout va pour le mieux, dans le meilleur des mondes.



Dave 16 ans, pas la peine de me présenter les lecteurs du blog me connaissent.
16 ans, et déjà j'écris mes pensées, je philosophe presque. À 16 ans. Rien n'est normal. On nous fait réfléchir sur des choses qui ne nous viendrais pas à l'esprit naturellement. On apprend très jeune à réfléchir, à avoir un avis, à ouvrir sa gueule. Et on se plaint, que ça soit les profs ou les parents, que les enfants se rebellent de plus en plus tôt, ont trop de répondant, commencent leur conneries de plus en plus jeune, etc... Et l'innocence dans tous ça ? Envolée, il faut instruire, instruire, instruire encore et toujours.
Oui je suis de ceux qui pensent que le savoir prend du terrain sur le bonheur, jusqu'à le détruire, détruire moralement l'humain et le tuer sans le moindre sourire, que des regrets. Dîtes-nous d'apprendre, de rester enfermé dans une salle de cours à apprendre des choses passées, incertaines. Et la vie continue son chemin sans que nous puissions en profiter. Ce sujet me touche car il touche celle qui a remplacé mon coeur par son sourire, et la voir constamment stressée en trin de bosser, me fait mal.
Je ne suis pas contre l'école, mais avant de nous apprendre la vie des anciens, on devrait plutôt apprendre la vie tout court, car on ne sait rien et on veut apprendre. L'Homme (encore faudrait-il qu'il mérite la majuscule...) veut conquérir l'espace, chercher des vies extraterrestres, alors qu'il ne connait pas la vie humaine, à quoi bon ?
Oui... à quoi bon ?


Et après tout, qu'est ce que le bonheur ?
Selon moi, le bonheur n'est pas un mot, pas un sentiment, pas une pensée. Le bonheur, c'est l'essence même de la vie.
Que celui qui est malheureux mais qui aime la vie me jette la première pierre s'il existe.
Le bonheur, c'est toute la simplicité d'une vie où tout n'est que facilité. Certes, la facilité est signe de paresse. Mais à quoi bon se casser la tête quand le bonheur, que nous recherchons tous sous sa forme la plus parfaite, quand ce bonheur est à portée de main ?
Un rayon de soleil, s'allonger dans l'herbe fraîche, une légère brise qui nous caresse le visage, s'endormir, rêver d'un monde meilleur, se réveiller, entendre les oiseaux chanter, les enfants s'amuser, retrouver ses amis, partages de bons moments avec eux, discuter, rire, voir l'être aimé, sentir son odeur, entendre sa voix, le (la) regarder droit dans les yeux et plonger dans son âme, entendre un "je t'aime", se sentir aimé, le (la) prendre dans ses bras, et inversement, un simple baiser, sa seule présence.
Rien de matériel, rien qui n'ai besoin d'un savoir particulier, laisser le temps couler, et le bonheur s'emparer lentement de son âme, se laisser faire, n'avoir pas d'autres choix que de se laisser faire tellement la jouissance est grande. Voyez-vous, le bonheur est partout et simple à saisir.
Nuls besoins de savoir la date de naissance et de mort de Louis XIV, la date de la guerre de 100 ans, le nombre de mort à Verdun, le nom de l'empereur assassiné en Autriche avant la première guerre mondiale, la vie de Molière, Ronsart, Voltaire, Wilde, Laclos, Balzac et autres Hugo, que a x b = ab et que 1/3 = 0.33333333, que le spectre de la lumière blanche est rouge, vert et bleu, que l'hypophyse trouve son utilité dans les cycle menstruel de la femme, que corazon veut dire coeur et que hate veut dire haine, que Beethoven était sourd, et j'en passe des vertes, roses, violettes et pas mûres...

Après tout, le bonheur profite à la vie, et la vie profite au bonheur.
Votre bonheur, c'est votre vie.
Le bonheur n'est qu'un choix, et il faut être bien bête pour le refuser.

dimanche 22 février 2009

Pensée sur l'humanité.



Les oiseaux volent dans le ciel, qui est bleu. Les enfants crient et jouent dans la cours. Un homme meurt. Un enfant pousse son premier cris. Deux jeunes adolescents font l'amour pour la première fois. Un homme se suicide. Une femme pleure. Quelqu'un mange un steak. Une vache mange de l'herbe. Un gosse se fait buter par son père. Une femme se fait violer. Un cambriolage a lieux. Un homme devient millionnaire. Un homme chie. Une femme pisse. Un homme frôle l'orgasme grâce à sa dose d'héroïne. Une femme écoute du reggae en fumant un joint. Un homme gerbe ses tripes. Une femme mange un sandwich au thon. Un homme se branle.

Tout cela est en trin de se passer, peu importe le moment où vous lirez ces lettres.
Le monde n'est qu'un CD mis sur repeat qui se raye avec le temps. Les nature fait l'homme, l'homme vit de la nature, l'homme recrée la nature, la nature vit de l'homme, l'homme détruit la nature, la nature détruit l'homme. Et on appellera ça l'apocalypse.

C'est moche hein ?

Joyeux Noël - Peace.



Paraîtrais que la vie est pleine de rebondissements. Je suis tombé sur deux tremplins.

Tout était possible pour moi, mais ces derniers temps je suis retombé sur terre. Et ça fait pas forcément du bien. J'étais l'homme qu'elle voulait que je sois, j'y était quasiment arrivé. Mais j'ai faillit tomber dans une schizophrénésie assez redoutable. Rien ne peut me faire changer totalement, c'est officiel, et triste à savoir.
J'aurais essayé du mieux que je pouvais, je reste le Junkie Clown que j'étais.

La vie continue. Et n'est pas prête de s'arrêter <3.

jeudi 12 février 2009

Junkie Clown


Le monde n'ayant déjà plus de secret pour moi, les beautés comme les choses les plus horribles s'étant offerte à moi, plus rien ne m'intéresse. Ce personnage crée par la société, actuellement surnommé Dave par la majorité, un personnage haut en couleur, non pas physiquement, mais psychologiquement. Un personnage à première vue commun, mais terriblement con, drôle et original, quasiment pacifique, qui ne se prend pas la tête et qui est toujours là pour les gens. A force d'être Dave, j'en oublie David. Mais David a-t-il existé ? Dieu seul le sait, je ne suis pas moi même, je n'arrive pas à changer cela, mais je les sais.
Alors je me plonge dans un autre monde, les paradis artificiels que Dieu a créé pour les plus pauvres qui n'apprécient vraiment pas le monde qui les entoure. Ainsi, David revient en surface, plus drôle, plus lucide, plus vrai. Ainsi je suis moi même, rien ne me dérange, tout m'arrange, je redécouvre ce monde morbide qui m'entoure, et trouve la beauté même si elle n'est pas là.
Fumer et fumer encore, jusqu'à ce que tu parte dans des songes psychédéliques encore plus fou que le pays des merveilles d'Alice.

samedi 10 janvier 2009

La vie ne tient qu'à un fil.



Parfois, un rien bouscule totalement votre vie. Un mot, une réconciliations, des explications... Et votre monde s'écroule. Les bases même de vos pensées sont transformées, alors là, vous regrettez le passé, êtes heureux à propos du futur, mais totalement incompréhensible faces aux événements présents. Alors on répond à une envie frénétique de faire comme si tout allait bien, comme si la joie que l'on ressent est la plus grande du monde. Mais finalement, on reste sur le banc de touche à ne rien comprendre de ce qui se passe.
Ma vie change, c'est irrémédiable, mais douloureux.

vendredi 2 janvier 2009

Leave.



Envie d'ailleurs, de partir loin, de ne plus pourrir ici. Envie de voir d'autres têtes, d'autres paysages, respirer un autre air. L'entendre, avoir envie de le voir, de le serrer dans mes bras, de lui dire qu'il ma manqué durant ces 3 longues années, et recevoir cet amour qui m'a tant manqué. Redécouvrir ces magnifiques forêts, cette montagne qui a accueillit mes jeux d'enfant, retourner à la pêche aux tritons, s'allonger dans l'herbe au soleil avec un vent léger qui caresse le visage, écouter le silence et la musique de l'eau qui coule. Et revenir, manger autour du feu, l'écouter parler de ces aventures passés, dans le désert, au Canada, en Egypte. Il me manque tellement...